J'entends vos arguments, monsieur le rapporteur spécial, mais je ne les partage pas, car un tel investissement nous permettrait de faire des économies sur les dépenses publiques du pays. Deux visions s'opposent : il y a ceux qui estiment qu'il convient de continuer au rythme actuel, en aidant éventuellement un peu plus les collectivités, et il y a ce que nous proposons, à savoir nous donner les moyens d'atteindre l'objectif de 9 % de part modale pour le vélo. Ce sont deux options politiques très différentes.