En comparaison des précédents, mon amendement est très modeste, puisqu'il vise à augmenter de seulement 50 millions d'euros les moyens de la stratégie nationale sur les protéines végétales du plan de relance, en vue de développer des filières de qualité dans l'agriculture biologique. Il s'agit de soutenir la recherche, le développement, le conseil et l'animation, la formation, les aides à l'investissement dans les filières de légumes secs de qualité bénéficiant d'une appellation d'origine protégée (AOP) ou d'une indication géographique protégée (IGP) – par exemple, la lentille verte du Puy –, et en particulier ceux cultivés en agriculture biologique.