Le fonds Avenir bio est déjà doté de 8 millions d'euros, et le plan de relance ajoute 10 millions d'euros sur deux ans. Par principe, on ne peut être opposé à l'idée d'améliorer les politiques par des crédits supplémentaires, mais on ne peut pas limiter le bio à ce fonds. D'autres éléments permettent d'améliorer ces politiques, tels que les 61 millions d'euros de crédits d'impôt en faveur de l'agriculture biologique ou les 630 millions d'euros de fonds européens pour l'aide à la conversion, dont 200 millions d'euros sur la période 2018-2022.
Avis défavorable.