La situation est ubuesque : depuis des mois, vous entendez parler de la société anglaise Luxfer, qui produit des bouteilles d'oxygène médical. Un repreneur français, très solide, dont je dois taire le nom, est prêt à investir plus de 20 millions d'euros sur le site. Or Luxfer refuse de vendre et préfère laisser mourir le site, parce qu'elle ne veut pas de concurrent sur ce secteur.
Nous aurons le débat en séance, mais nous aurions gagné un temps précieux si nous avions nationalisé puis revendu la société au repreneur.