Cet amendement vise à abonder les crédits de la cellule Thémis, chargée de lutter contre le harcèlement et les troubles psychosociaux dans nos armées. J'avais déjà déposé un amendement similaire l'an dernier. La ministre avait dit qu'elle verrait au fil du temps quels seraient les besoins. Étant donné le niveau d'engagement de nos forces armées, les besoins sont toujours là, voire plus importants encore : il paraît légitime de renforcer les moyens des quelques fonctionnaires – trop peu nombreux, malheureusement – qui traitent ces questions essentielles pour que nos armées puissent s'adresser à l'ensemble de la population lorsqu'elles veillent à leur recrutement.