La mesure que propose la ministre est un peu moins généreuse que la nôtre : un million d'euros pour elle, contre 1,2 million pour nous. Qui plus est, elle s'accompagne de conditions et de « si ». Pour des raisons de simplicité et de lisibilité, mieux vaudrait que ces mesures bénéficient à toutes les veuves, ce qui éviterait également des effets de seuil, entre ceux qui seraient juste en dessous des 6 000 points et ceux qui auraient prodigué des soins pendant quatorze ans et pas quinze.