Il s'agit d'investir 150 millions d'euros par an pour reconstituer un parc de matériel roulant de nuit et relancer progressivement le réseau de trains de nuit en France et vers l'étranger. La comparaison avec les autres pays européens est extrêmement défavorable pour la France, puisqu'il n'existe dans notre pays que deux trains de nuit, alors que cette offre se développe chez nos voisins.