Le traitement réservé à Météo-France dans ce budget est indigne du rôle essentiel de cet opérateur, partie prenante du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, le GIEC. À l'heure où les catastrophes n'ont plus de naturelles que le nom, comme la tempête Alex qui a ravagé le sud-ouest, le rôle de prévision joué par Météo-France est plus que jamais indispensable. Supprimer des postes va à rebours de l'urgence écologique. Nous défendrons d'ailleurs un amendement en séance publique. Avis favorable.