L'humain a bien évidemment toute sa place mais, dans de nombreux cas, les métiers d'hier ne sont pas ceux d'aujourd'hui. Parfois, des tâches répétitives comme inscrire chaque nom, prénom ou adresse, ne se font plus de la même manière. Cette transformation est importante pour accompagner les agents dans leur métier, afin qu'ils ne l'exercent pas de la même manière qu'il y a par exemple vingt ans.
S'agissant des effectifs, vous avez beaucoup parlé de l'aspect fiscal. J'ai expliqué qu'en 2018, le recouvrement atteignait 8,7 milliards d'euros et, en 2019, 11,3 milliards. C'est la preuve que les équipes ont su prendre en main cette transformation pour recouvrer davantage, un an après.
Madame Motin, vous avez raison de souligner les mutations intervenues dans ces métiers, qui sont importantes. Le rapprochement entre la DGFiP et la DGDDI a permis de faire émerger des métiers nouveaux et, surtout, d'aller vers des évolutions. Quant à la rationalisation des taxes qui s'est opérée, elle n'a en rien modifié les effectifs de ces deux structures.