L'amendement II-CF1665 tend à subordonner les aides aux entreprises qui font plus de 40 millions d'euros de chiffre d'affaires à certains engagements écologiques et sociaux. Ce seuil correspond à des entreprises soumises à l'obligation de déclaration de performance extra‑financière. Nous leur demandons ce que nous cherchons tous dans la relance : publication d'un bilan carbone ; respect d'une trajectoire de réduction des gaz à effet de serre ; maintien de l'emploi ; publication d'indicateurs de performance sociale ; réduction des inégalités salariales entre les femmes et les hommes. Depuis le début, nous demandons des engagements. On ne peut pas continuer à déverser de l'argent public, sans aucune stratégie, même industrielle.