Je vous invite à rencontrer la présidente de Météo France, nommée par vos soins, qui a essayé d'appliquer vos baisses, mais qui m'a dit qu'elle ne pouvait pas faire plus. C'est la même chose pour l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS), le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA) et de bon nombre d'opérateurs qui sont en train de craquer, alors même qu'ils sont indispensables. On ne peut pas dire, alors qu'on assiste chaque année à des centaines de suppressions de postes dans les ministères et chez les opérateurs publics, que cela n'a pas de conséquences. Vous les vivez comme nous tous, ces conséquences ! Excusez‑moi si je m'emporte, mais, même à 23 heures passées, ce genre de réponse me rend fou !