Le premier amendement vise à supprimer le prélèvement forfaitaire unique (PFU). Le second instaurerait une taxe de 4 % sur les dividendes pour les groupes qui en distribuent un volume toujours plus important. Il ne s'agit pas de taxer en soi mais d'inciter à une réorientation des bénéfices vers l'investissement, et donc l'emploi.