La Cour des comptes l'a bien démontré, le précédent de 2009 n'a pas du tout entraîné une augmentation du niveau d'investissement. Il n'est donc pas efficace d'avancer les versements d'une année. Ce qui l'est, c'est d'abonder le FCTVA, ce que nous faisons pour 2021 à hauteur de 546 millions d'euros, de doubler les crédits de la dotation de soutien à l'investissement local (DSIL) en autorisations d'engagement, comme nous l'avons fait dans la troisième loi de finances rectificative pour 2020, bref de muscler les outils en place et les capacités de soutien de l'État aux investissements locaux.