Le problème est bel et bien temporel : nous ne pouvons pas chercher des solutions aujourd'hui comme au printemps. Dans la première phase de la crise, il s'agissait essentiellement de soulager la trésorerie des entreprises. Cette fois, il y a un stock de crédits divers, mis ce n'est peut-être pas la bonne solution. Face à l'incertitude de la reprise commerciale, il faudrait sans doute changer notre fusil d'épaule. C'est ainsi que les aides directes seraient beaucoup plus pertinentes que la baisse des impôts de production.