Il s'agit maintenant des voyagistes, catégorie qui est peut-être celle qui a connu le plus de difficultés. Quand je les ai reçus, leurs représentants m'ont expliqué que non seulement ils n'avaient pas eu de recettes durant la première phase de la crise, mais qu'ils avaient même dû faire face à des dépenses supplémentaires, liées au rapatriement d'un certain nombre de touristes : leur personnel a ainsi été mobilisé, ce qui n'a pas permis de le placer en chômage partiel, et leurs boutiques ouvertes, mais sans enregistrer de recettes. Quant aux perspectives de reprise, ils n'en ont aucune, car, du fait des contraintes sanitaires, il n'y a pratiquement plus de déplacements internationaux. Je n'imagine pas d'autre solution que spécifique pour les voyagistes. Un certain nombre d'engagements avaient été envisagés mais, à ma connaissance, rien n'a été décidé – à moins que des annonces aient eu lieu ces derniers jours.