Si la crise continue, comme nous le craignons, il va falloir faire plus pour les voyagistes. En ce qui concerne la fin de l'année, nous les accompagnons grâce à tous les dispositifs existants, auxquels s'ajoute le « PGE saison », qui leur offre des conditions plus favorables. Je regarderai, d'ici à la séance, combien ont été accordés : en fonction de l'impact du dispositif, nous saurons s'il faut le proroger ou bien trouver autre chose pour le début de l'année 2021.
Quoi qu'il en soit, il me paraît certain que, si l'on n'améliore pas notre accompagnement, les voyagistes seront les professionnels qui souffriront le plus longtemps de la crise. Il faudra sans doute choisir entre les laisser tous mourir et les sauver tous, car il sera difficile de trouver un juste milieu. Comme vous le disiez, c'est peut-être le secteur le plus en difficulté.