Sans jouer aux vases communicants, je rappelle qu'il y a toujours des taxes et, plus rarement, des cotisations qui sont dues par des secteurs ayant subi la fermeture administrative. C'est le cas de la CAP, parce qu'elle vient nourrir le financement de l'audiovisuel public.
Nous apportons par ailleurs des aides directes à ces entreprises. Prenez cela comme une compensation. Le plan hôtellerie tourisme comprend beaucoup plus que la compensation de la CAP, vous en conviendrez. Il est vrai que des obligations fiscales demeurent – d'une façon peut-être un peu absurde, je vous l'accorde, puisqu'elles sont fondées sur des téléviseurs qui ne sont pas utilisés. Mais cela est largement compensé par les aides que nous mettons en place.