Ce sujet très important est issu de négociations complexes. En dehors des 750 milliards d'euros, nous sommes encore à la croisée des chemins sur de nombreux sujets. Si l'on veut une Europe forte, il faut un peu de ressources ; or c'est compliqué politiquement à mettre en œuvre. Je suis satisfait par l'idée qu'il y ait des ressources propres nouvelles ou à venir – je pense à la taxe carbone aux frontières ou encore à la ressource sur les emballages plastiques recyclés. Il n'empêche que, proportionnellement, la France devra contribuer plus : c'est également un sujet non négligeable.
La bonne nouvelle, c'est que, globalement, l'Europe avance : cela fait plaisir à voir, en tout cas en ce qui me concerne !