Monsieur le ministre de l'économie, des finances et de la relance, on pourrait fort bien envisager d'affecter le surplus de recettes dû à la croissance à la baisse du déficit public et à la réduction de l'endettement annuel plutôt qu'à l'isolement d'une partie de la dette liée au covid-19. Vos services ont dû étudier ces deux scénarios. Quel est celui qui est le moins coûteux ?