Vous avez indiqué que l'actionnariat des particuliers avait connu une augmentation considérable, avec 400 000 nouveaux investisseurs. Disposez-vous d'informations sur le profil de ces investisseurs : leurs niveaux de revenu, leurs métiers, etc. ? Ce « monde de la petite finance » bouscule peut-être les équilibres et le partage de richesses avec le « monde de la grande finance ». Ne risque-t-il pas également de devenir le « pigeon » de la grande finance ? Vous avez parlé d'une dérive marketing susceptible de générer de tels risques.