L'année dernière, il y avait la crise sanitaire. Or il est indiqué que, pour apprécier la baisse de la valeur ajoutée, « celle-ci doit être réalisée dans des conditions comparables à celles des trois exercices de référence retenus ». Les conditions d'exploitation de ces derniers mois seront très difficiles à comparer avec celles des années précédentes : il va falloir apprécier une baisse de la valeur ajoutée entre une année de crise économique et une année marquée par le gel ! Si je comprends l'argument comptable, je trouve que tout cela est un peu compliqué. Dès lors que l'objectif est d'aider les agriculteurs, ne serait-il pas plus sage de simplifier les choses – d'autant qu'il s'agit d'un dispositif qui a vocation à s'éteindre ?