Les statuts de résidence principale ou secondaire emportent tout de même des conséquences différentes dans de nombreux domaines autres que celui des plus-values immobilières, par exemple en matière de taxe d'habitation. Toutes ces dispositions que nous avons votées, sans doute légitimement, créent un préjudice pour les résidents français à l'étranger. C'est pour moi un frein à la mobilité. Cette demande me paraît légitime et mérite qu'on en reparle dans l'hémicycle.