Je partage l'opinion du rapporteur général, mais j'appelle son attention sur le cas des viticulteurs qui ont pris des mesures pour essayer de sauver une partie de leur récolte – paille brûlée, bougies, etc. – et ce pour un coût important. Leurs pertes de récoltes vont être moindres que celles des viticulteurs qui n'ont rien fait du tout, alors que l'aide annoncée est calculée, comme cela a été rappelé, en fonction de la diminution de chiffre d'affaires liée au gel. Il faut que la mesure soit juste.