Le risque de surcoût est lié aux pensions d'invalidité, jusqu'à l'âge de la retraite.
Lors du report de l'âge de la retraite de soixante à soixante-deux ans, le groupe Agrica a appelé des cotisations supplémentaires pendant trois ans, pour équilibrer le risque invalidité. Il y a donc un impact non négligeable sur les équilibres prudentiels des institutions de prévoyance.
Par ailleurs, les risques assurantiels et les retraites complémentaires sont deux risques étanches l'un par rapport à l'autre. La retraite AGRIC-ARRCO n'a aucun lien avec les risques assurance, prévoyance et santé. Notre superviseur, l'ACPR, nous interdit de compenser les risques d'assurance, de prévoyance et de santé avec les risques de retraite. Nous n'avons donc pas la possibilité de compenser l'un par rapport à l'autre. L'équilibre ne peut se faire que risque par risque.