Comment appréciez-vous, ex post, le rôle joué par l'État dans le rapprochement entre Suez et Veolia ?
Dès l'OPA, vous aviez annoncé une synergie des coûts de l'ordre, potentiellement, de 500 millions d'euros. Ce chiffre est-il toujours d'actualité ? Comment va-t-il se traduire au cours des prochains mois et années, au regard de la création de valeur évoquée dans votre propos liminaire ?
Quelles garanties offrez-vous aux employés de Suez, aussi bien ceux qu'absorbera Veolia que ceux du nouveau Suez repris par le consortium Meridiam, GIP et la Caisse des dépôts ?
Suez et Veolia ont dû passer une sorte d'accord de Yalta pour se répartir leurs zones d'activité à l'international. Le nouveau Suez conservera d'importantes positions de marché en Asie, notamment en Chine et en Inde. Quelles perspectives de développement se présentent pour Veolia sur ces marchés ?