Ce rapport est en adéquation avec le sentiment des chefs d'entreprise, qui reconnaissent que l'État les a soutenus. Il affiche aussi une certaine prudence face à la dette et aux PGE. La Cour est d'ailleurs assez sévère lorsqu'elle juge l'accompagnement à la formation « plus opportuniste que susceptible de conjurer les effets de la crise ». D'ailleurs, les cadres ont largement plus bénéficié de ces formations que les salariés non qualifiés. Ces dispositifs que vous critiquez (le FNE Formation notamment) sont-ils en cause ?
Quant au contrôle parlementaire, vous recommandez la suppression du fonds de concours qui a alimenté Santé Publique France. Je pense que le rôle de contrôle du Parlement est primordial pour ces questions budgétaires.