Avis défavorable : la trajectoire de baisse de l'impôt sur les sociétés, qui avait été ralentie dans un premier temps, doit être maintenue. Un taux de 25 % en 2022, ce n'est pas qu'un chiffre, c'est aussi une promesse de campagne et un climat de confiance à instaurer auprès de ceux qui créent de l'emploi, les entrepreneurs. Cela nous permettrait d'être à peu près compétitifs par rapport à nos voisins européens. Cette compétitivité, nous l'appelons de nos vœux, et il faut que cela se traduise par des actes. Revenir sur notre engagement de baisser l'impôt sur les sociétés, ce serait adresser aux entreprises un signal particulièrement contreproductif.