Par le passé, pour remédier aux taux très élevés, on avait beaucoup « mité » l'assiette de manière à favoriser l'intéressement. Aujourd'hui, le cadre fiscalo-social est favorable : les entreprises peuvent déduire de la base taxable les participations versées, et ces participations sont exonérées de taxe sur les salaires et de cotisations sociales. Si l'on ajoutait un crédit d'impôt, il ne resterait plus grand-chose à taxer…