Je ne suis pas défavorable au PFU, car sa simplicité en fait un instrument d'attractivité. En revanche, je propose d'augmenter son taux afin de financer les services publics et les politiques sociales.
La précarité explose dans notre pays et je considère que ceux qui se sont enrichis grâce à des dividendes ou des plus-values peuvent contribuer davantage à la solidarité nationale. Pour ce type de revenus, l'amendement relève la part fiscale du PFU de dix points et fait donc passer le prélèvement total de 30 à 40 %.