Monsieur le rapporteur général, si, comme vous le dites, il est difficile, dès lors que les réductions d'impôt ne sont pas fléchées, d'établir un lien direct entre la politique fiscale et les investissements, comment pouvez-vous affirmer que celle-ci a favorisé les investissements ? Je ne comprends pas votre logique. En tout état de cause, un impôt sur la fortune progressif permettrait de récupérer 10 milliards d'euros, ce qui n'est pas neutre lorsqu'on souhaite maîtriser les finances publiques.