Cet amendement propose de supprimer la reprise complémentaire sur les droits de mutation à titre onéreux (DMTO) et la TVA. La Seine-Saint-Denis, puisque c'est d'elle dont il est question, n'en reste pas moins gagnante de plus de 40 millions d'euros. Si tel n'avait pas été le cas, ce département ne se serait pas porté volontaire pour l'expérimentation.
La compensation est évidemment à la charge de l'État. Le « frein » ou le « filet » à cette compensation à travers la reprise complémentaire des DMTO et de la TVA me semble plutôt raisonnable. In fine, ce sont toujours des dépenses publiques.