Le principe de continuité territoriale a été défini par l'État, qui a assuré la gestion de la DCT et son contrôle. Il se trouve que les règles de concurrence n'ont pas été respectées. Du coup, c'est la collectivité de Corse qui doit assumer un versement énorme de plus de 80 millions d'euros, à titre de compensation.
Vous souhaitez une discussion en séance sur le fond, monsieur le rapporteur général. Eh bien nous en aurons une belle ! Car nous ne voyons pas pourquoi la collectivité de Corse devrait payer pour une faute qui incombe à l'État, dont les errements ont été manifestes à tous les niveaux, de la préfecture jusqu'aux ministères des transports et des finances.