Oui, nous remboursons une partie de la dette covid dès 2022.
Je suis opposé à un cantonnement figé, sur le modèle de la Caisse d'amortissement de la dette sociale (CADES), de la dette de l'État. En revanche, je suis favorable à ce qu'une part du surplus de croissance soit chaque année consacrée au remboursement de la dette. Le montant de 1,9 milliard me semble satisfaisant compte tenu des prévisions actuelles.
Si les prochains cadrages macroéconomiques laissaient entrevoir une croissance en 2021 supérieure à 6 %, il ne serait pas interdit de réfléchir ensemble à l'affectation du surplus de croissance au désendettement.