Le principe de réalité s'impose aussi à nous : garantir l'accès aux soins ne sert pas qu'à préserver la santé individuelle des personnes concernées, mais répond aussi à un enjeu de santé publique. En effet, il s'agit de personnes extrêmement précaires, souffrant parfois de pathologies lourdes et très contaminantes, telle la tuberculose.
Par ailleurs, le basculement d'un régime à l'autre ajouterait encore aux difficultés des établissements de santé. Cela deviendrait une usine à gaz. Il faut donc en rester à l'existant.