Tout au long de la crise, le Gouvernement s'est comporté comme un fauve avec les citoyens, auxquels il n'a pas hésité à imposer des contraintes très fortes, notamment le passe sanitaire, mais il a fait carpette devant les entreprises : lorsqu'il s'agit de taxer les profiteurs de la crise ou de conditionner les aides qui peuvent se chiffrer à plusieurs milliards d'euros, on choisit la liberté.