Il concerne les assistants d'éducation (AED) dont le confinement a montré le rôle de premier plan dans la gestion des établissements.
Les crédits qui leur sont alloués sont moindres dans l'enseignement agricole que dans l'enseignement général en dépit de salaires identiques. L'écart avait été progressivement réduit mais le projet de loi de finances pour 2022 interrompt ce rattrapage et les établissements d'enseignement agricole devront prélever sur leurs fonds propres.
Cet amendement vise à effacer cette spécificité malencontreuse de l'enseignement agricole en lui octroyant 1 252 ETP.