Lors de l'examen du projet de loi d'orientation des mobilités, nous avions souligné le risque de délaissement des petites lignes, qui sont si importantes, notamment dans nos territoires ruraux. Notre amendement tend à investir 300 millions d'euros supplémentaires. En effet, seul le maintien des petites lignes existantes, le développement d'une offre nouvelle ou renforcée autour des heures de pointe et une politique tarifaire attractive peuvent permettre à nos concitoyens de bénéficier de solutions alternatives crédibles et effectives, notamment dans les zones rurales. Les mobilités alternatives peuvent ensuite compléter l'offre pour les trajets domicile-gare et gare-lieu de travail.