Je me réjouis que ce soit une préoccupation partagée par les régions et par l'État. Néanmoins, ce n'est pas toujours ce que l'on constate. Dans une petite ville de ma circonscription, par exemple, la question qui se pose n'est pas le maintien d'une petite ligne mais de la moitié des arrêts : l'offre s'est considérablement réduite. Et quand le cadencement n'est pas suffisant pour donner envie de prendre le terrain, des problèmes se posent évidemment.