L'enveloppe a été portée à 45 millions d'euros. Ces crédits ont permis de traiter six passages à niveau. À ce train-là, il faudra trente ou trente-cinq ans pour s'occuper de tous ceux qui sont dangereux. On pourrait peut-être le faire en dix ans si on augmentait les moyens. Ce serait plus compréhensible pour nos concitoyens, qui découvrent parfois des tragédies dans la presse quotidienne régionale et se demandent pourquoi l'État n'a rien fait.