Il ne s'agit pas de réduire volontairement des crédits mais de constater une économie sur les engagements de l'État. Ces crédits ne seront de toute manière pas dépensés, puisqu'avec l'augmentation des prix il ne sera pas nécessaire de compenser à EDF le coût de son soutien aux énergies renouvelables.
Par ailleurs, pour le nucléaire il s'agit plutôt de repartir comme en 58.
L'amendement tire les conséquences budgétaires de l'évolution des prix de l'énergie et permet de faire plaisir au rapporteur général, qui reste silencieux.