Le rapport de force entre le public et le privé n'est pas toujours celui que vous décrivez. Jusqu'à peu de temps, l'Agence française pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique, dont nous avons plusieurs fois auditionné le directeur, payait les certificateurs pour récupérer leurs données. C'est désormais l'inverse !
Par ailleurs, l'étiquette « bio » est un argument commercial de plus en plus rémunérateur. Aucun exploitant bio ne refuse les contrôles s'ils lui rapportent de l'argent. Avis défavorable.