Selon le Défenseur des droits, le déficit de statistiques publiques concernant les bénéficiaires de l'AME – nationalité, pathologies, non recours – « permet tous les fantasmes » et « empêche de réfléchir sereinement ». Par ailleurs, nous recueillons déjà des données sur la nationalité pour l'allocation pour demandeur d'asile : je vous propose de faire la même chose pour les bénéficiaires de l'AME. Les données ainsi collectées seraient rendues anonymes.