Il s'agit des crédits du Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL). Ses moyens actuels lui permettent de traiter 3 400 saisines et d'effectuer, selon l'indicateur de performance, 150 visites par an.
Contrairement aux autres autorités administratives indépendantes, le champ de ses missions n'a pratiquement pas évolué au cours de la période récente. Augmenter ses crédits de 5 millions serait excessif.