On a fait passer l'IS de 33,3 % à 25 %, ce qui est heureux. Cela étant, les cessions de titres contribuent peu au dynamisme de l'économie ; ce sont essentiellement des opérations financières de la part de gens qui se retirent du jeu. Il est donc légitime de s'interroger sur le bénéfice fiscal. J'appelle de mes vœux une fiscalité plus juste sur les entreprises.