Il n'est pas question de privatisation de la SNCF. Nous n'allons pas refaire les débats de 2018. Comment peut-on nier que la réforme est bienvenue face à la nécessité d'une reprise de dette de 35 milliards et aux difficultés structurelles de notre réseau ferré ? Il s'agit d'une très belle entreprise et d'un groupe essentiel à notre pays, mais dont la réforme était absolument indispensable.