J'ai déjà décrit l'impact des baisses successives du plafond d'emplois de Météo-France. Même la présidente-directrice générale de cet établissement public, pourtant nommée au cours du présent quinquennat, admet que la situation est devenue intenable : si la création d'un supercalculateur nécessite des crédits budgétaires, elle ne peut se faire en supprimant des équivalents temps pleins.
Par ailleurs, il est anormal que le plafond d'emplois de Météo-France intègre les 120 élèves en formation à l'École nationale de la météorologie, ce qui porte évidemment préjudice à l'opérateur. Par cet amendement, nous demandons que ces élèves ne soient plus pris en compte dans le plafond.