Effectivement, Météo-France fait depuis plusieurs années l'objet d'un plan de transformation ambitieux. Son plafond d'emplois a diminué de près d'un quart depuis 2012 : je reconnais que la baisse d'effectifs est importante. Un contrat d'objectifs et de performance (COP) pour la période 2022-2026, qui traduit une ambition stratégique importante, est en cours d'adoption – il a été validé cet été par le conseil d'administration.
Même si nous manquons peut-être de recul, il me semble que la qualité du service public rendu par Météo-France reste à la hauteur de l'excellence de cet institut météorologique. Nous pouvons transformer nos opérateurs pour faire mieux avec moins.