Bien évidemment, moins de contrôles fiscaux ont été réalisés durant le confinement, d'une part en raison des contraintes sanitaires, de l'autre parce qu'il fallait laisser les entreprises subir et gérer la crise. La direction générale des finances publiques était davantage préoccupée par le fonds de solidarité que par les contrôles.
Au-delà, on ne peut pas mesurer l'efficacité d'une politique publique uniquement eu égard au nombre d'équivalents temps plein ou aux crédits engagés. C'est ainsi que la France se retrouve à toujours augmenter les moyens pour des résultats parfois médiocres. Nous devons sortir de cette logique.