Depuis un an, en martelant un même chiffre, vous affirmez, au détour de chacun de vos amendements, que la France compte un million de pauvres en plus depuis la crise. Reconnaissez-vous l'inexactitude de ce chiffre depuis la récente étude de l'INSEE, que l'on ne peut accuser de subjectivité ? Cela ne veut pas dire que tout va bien pour autant. Vous avez longtemps asséné un chiffre faux, fondé sur une hypothèse de faillites d'entreprises et de la perte de 800 000 emplois qui n'a pas eu lieu. Nous devrions nous en réjouir plutôt que de polémiquer !