Nous savons tous que de nombreuses personnes sont touchées par la précarité énergétique, qui plus est dans le contexte que nous connaissons, entre hausse des coûts de l'énergie et situation internationale.
Je ne peux qu'approuver les diagnostics qui ont été posés : sur la complexité du chèque énergie et les imbroglios avec d'autres dispositifs – d'où la nécessité de mieux articuler les différents mécanismes d'aide ; sur son ciblage, puisque 25 % des personnes éligibles ne le perçoivent pas – il convient donc de définir des critères plus pertinents ; enfin, sur la nécessité de recentrer sa délivrance sur les énergies les moins carbonées. L'objectif est ambitieux, mais on peut s'interroger quant aux meilleurs moyens de l'atteindre.